La psychologie du contrôle de la pensée, du menticide et du lavage de cerveau.

Nous sommes actuellement et depuis toujours, au controle du cerveau de chaque individu.

Cela se déroule avec l’hypnose de masse, le lavage de cerveau et l’ingénierie sociale.

Vous êtes tous confrontés chaque jour à la programmation mentale, avec cette fausse pandémie créée à des fins illicites pour l’être humain.

C’est une psychose collective, l’humanité est victime d’une guerre destructrice de vos falcutés mentales pour que vous soyez dans l’incapacité d’exercer vos capacités rationnelles.

La peur de la mort , le virus, l’isolement, etc .

Et je vais me référer à l’ouvrage de : Joost A.M. Meerloo, Le viol de l’esprit — La psychologie du contrôle de la pensée, du menticide et du lavage de cerveau

Qu’est ce que le menticide?

C’est le génocide mentale. C’est un acte de torture mentale. C’est du terrorisme mentale.

L’objectif?

La disparation totale de l’identité de l’individu

Le délirium des médias , induction d’une peur , l’objet est le terrorisme mentale de la foule .

Vous transforme en bétail, fabrication hybride entre le grafène du vaccin et l’hypnose de masse exercée par les médias du régimes totalitaires.

« Vous ne posséderez plus rien , et vous serez heureux  » Klaus Schwab

C’est tout à fait cela le menticide,  » tuer l’esprit de l’être humain »

Le règne de la folie et de la peur.

L’inconscience de cette dérive n’est rien comparée à l’aveuglement idéologique où, plus simplement, être dans sa petite aisance tout accepter est probablement la pire des choses, dans tous les régimes totalitaires seuls les réfractaires paient aujourd’hui le prix des menaces, des contraintes…

L’incohérence est actuellement poussée au paroxysme, les autorités le savent, elles l’encadrent et la remettent en couches.

Les crises révèlent toujours la vraie nature des hommes !!!

La pandémie est une crise conçue pour provoquer une réinitialisation économique, un transhumanisme et une plate-forme d’identité numérique liée biométriquement.

Joost A.M. Meerloo, Le viol de l’esprit — La psychologie du contrôle de la pensée, du menticide et du lavage de cerveau

Publié en 1956 et écrit par Joost A. M. Meerloo, M.D., instructeur en psychiatrie, Université de Columbia, conférencier en psychologie sociale, New School for Social Research, ancien chef du département de psychologie des forces néerlandaises.

« DEPUIS 1933, lorsqu’une épave humaine complètement droguée et conditionnée à l’essai a avoué avoir déclenché l’incendie du Reichstag à Berlin, le Dr Joost A. M. Meerloo a étudié les méthodes par lesquelles la pression mentale systématique amène les gens à une soumission abjecte, et par lesquelles les totalitaires impriment leur « vérité » subjective dans l’esprit de leurs victimes.

Le Dr Meerloo a passé les deux premières années et demie de la Seconde Guerre mondiale sous la pression de la Hollande occupée par les nazis, et a été témoin direct des méthodes nazies de torture mentale à plus d’une occasion…

Puis, après des expériences personnelles d’interrogatoire forcé, il s’est échappé d’une prison nazie et d’une mort certaine pour rejoindre l’Angleterre, où il a pu, en tant que chef du département psychologique des forces néerlandaises, observer et étudier les méthodes coercitives officiellement…..
Après la guerre, il est venu aux États-Unis…

De plus en plus de cas de contrôle de la pensée, de lavage de cerveau et de coercition mentale étant révélés – le cardinal Mindszenty, le colonel Schwable, Robert Vogeler et d’autres – son intérêt s’est accru.

C’est le Dr Meerloo qui a inventé le mot menticide, le meurtre de l’esprit, pour ce crime particulier…

Selon le Dr Meerloo, en exerçant une pression sur les points faibles des hommes, les méthodes totalitaires peuvent transformer n’importe qui en « traître ».

Et dans The Rape of the Mind, il va bien au-delà des implications militaires directes de la torture mentale pour décrire comment notre propre culture montre discrètement des symptômes de pressurisation de l’esprit des gens.

Il présente une analyse systématique des méthodes de lavage de cerveau, de torture mentale et de coercition, et montre comment la stratégie totalitaire, avec son utilisation de la psychologie de masse, conduit à un « viol de l’esprit » systématisé.

Il décrit le nouvel âge de la guerre froide avec sa terreur mentale, sa verbocratie et son brouillard sémantique, l’utilisation de la peur comme outil de soumission des masses et le problème de la trahison et de la loyauté, si chargé d’une dangereuse confusion. »

Le conditionnement politique ne doit pas être confondu avec la formation, la persuasion ou même l’endoctrinement.

C’est bien plus que cela. Il s’agit d’apprivoiser. Il s’agit de prendre possession des schémas nerveux de l’homme, qu’ils soient les plus simples ou les plus compliqués. C’est la bataille pour la possession des cellules nerveuses.

C’est la coercition et la conversion forcée. Au lieu de conditionner l’homme à une confrontation impartiale avec la réalité, le séducteur le conditionne à des mots-clés, des stéréotypes verbaux, des slogans, des formules, des symboles.

La stratégie pavlovienne, au sens totalitaire, consiste à imprimer des réflexes prescrits à un esprit brisé. Le totalitaire veut d’abord obtenir la réponse requise des cellules nerveuses, puis contrôler l’individu et enfin les masses.

Le système commence par le conditionnement et l’entraînement verbal en combinant les stéréotypes requis avec des stimuli négatifs ou positifs : douleur ou récompense. Dans les camps de prisonniers de guerre en Corée, où le lavage de cerveau individuel et collectif était pratiqué, les stimuli de conditionnement négatifs et positifs étaient généralement la faim et la nourriture.

Dès que le soldat se conformait à la ligne du parti, sa ration alimentaire était améliorée : dis oui et je te donnerai un bonbon !
Toute la gamme des stimuli négatifs, tels que nous les avons vus dans le cas de Schwable, consiste en une pression physique, une pression morale, la fatigue, la faim, la répétition ennuyeuse, la confusion par des syllogismes apparemment logiques.

De nombreuses victimes du totalitarisme m’ont confié, lors d’entretiens, que l’expérience la plus bouleversante à laquelle elles ont été confrontées dans les camps de concentration était le sentiment de perte de logique, l’état de confusion dans lequel elles avaient été amenées – état dans lequel rien n’avait de validité.

Ils étaient arrivés à l’état pavlovien d’inhibition, que les psychiatres appellent désintégration mentale ou dépersonnalisation.

Il semblait qu’ils avaient désappris toutes leurs anciennes réponses et qu’ils n’en avaient pas encore adopté de nouvelles. Mais en réalité, ils ne savaient tout simplement pas ce qui était quoi.
La théorie pavlovienne traduite en méthode politique, comme moyen de niveler l’esprit (les nazis l’appelaient Gleichschaltung), est le fonds de commerce des pays totalitaires.

Certains points psychiatriques sont intéressants car nous voyons que le dressage pavlovien ne peut être utilisé avec succès que lorsque des conditions mentales particulières prévalent.

Afin d’apprivoiser les gens dans le modèle désiré, les victimes doivent être amenées à un point où elles ont perdu leur conscience alerte et leur conscience mentale.

La liberté de discussion et le libre échange intellectuel font obstacle au conditionnement. Il faut inculquer des sentiments de terreur, de crainte et de désespoir, d’être seul et de se tenir dos au mur.
Le traitement des prisonniers de guerre américains dans les camps de prisonniers de guerre coréens suivait exactement le même schéma.

Ils étaient obligés d’écouter des conférences et d’autres formes de barrage verbal quotidien. Le fait même qu’ils ne comprenaient pas les conférences et que les longues séances les ennuyaient inhibait leur formation démocratique, les conditionnant à avaler passivement le régime doctrinal amer, car les prisonniers étaient également soumis non seulement à un programme de formation politique, mais aussi à un programme d’apprivoisement involontaire.

Dans une certaine mesure, les conférences de propagande communiste visaient à recycler l’esprit des prisonniers.

Cette formation, les soldats pouvaient la rejeter, mais les répétitions sans fin et les slogans constants, ainsi que les difficultés physiques et les privations subies par les prisonniers, provoquaient une domestication et un conditionnement inconscients, contre lesquels seules la force intérieure et la conscience accumulées auparavant pouvaient aider.


Il existe une autre raison pour laquelle les soldats ont parfois été piégés par le conditionnement communiste.

Les expériences sur les animaux et les expériences sur les êtres humains nous ont appris que la menace, la tension et l’anxiété, en général, peuvent accélérer l’établissement de réponses conditionnées, particulièrement lorsque ces réponses tendent à diminuer la peur et la panique (Spence et Farber).

L’urgence de la vie en camp de prisonniers et la torture mentale peuvent fournir des circonstances idéales pour un tel conditionnement.

Les réponses peuvent se développer même lorsque la victime n’est absolument pas consciente d’être influencée. Ainsi, beaucoup des soldats ont développé des réponses automatiques dont ils sont restés complètement inconscients (Segal).

Mais ce n’est qu’un côté de la médaille, car l’expérience a également montré que les personnes qui savent à quoi s’attendre dans des conditions de pression mentale peuvent développer une défense dite perceptive qui les protège de l’influence.

Cela signifie que plus les gens sont familiers avec les concepts de contrôle de la pensée et de menticide, plus ils comprennent la nature du barrage de propagande dirigé contre eux, plus ils peuvent opposer une résistance intérieure, même si, inévitablement, certaines des suggestions de l’inquisiteur passeront la barrière de la défense mentale consciente.

Alors sauvez votre esprit et votre corps!